L’essentiel à savoir
✅ Un site internet d’avocat n’est pas une simple vitrine : il doit inspirer confiance, être clair et conforme à la déontologie.
✅ La stratégie doit être définie en amont : objectifs précis, public cible identifié et identité visuelle cohérente.
✅ Les pages clés (Accueil, Compétences, Contact, Blog) et un contenu différenciant sont essentiels pour convaincre et se démarquer.
✅ Le SEO local et les optimisations techniques (vitesse, responsive, SSL) sont indispensables pour apparaître en première page de Google.
✅ Un site performant doit être sécurisé, régulièrement mis à jour et validé par l’Ordre pour rester crédible et durable.
Pourquoi un avocat a besoin d’un site internet en 2025 ?
En 2025, un site internet n’est plus une simple carte de visite : c’est le cœur de la stratégie digitale d’un cabinet d’avocat. Dans un contexte où les justiciables recherchent leurs réponses en ligne avant même de contacter un professionnel, l’absence de site revient à être invisible. Un site bien pensé permet non seulement d’être trouvé, mais surtout de créer une relation de confiance dès la première visite.
Aujourd’hui, les attentes des clients ont évolué :
📱 Accessibilité immédiate : consultation depuis un smartphone ou une tablette.
🔎 Clarté des compétences : chaque domaine d’expertise doit être identifiable en quelques secondes.
🤝 Confiance et transparence : présentation de l’équipe, du parcours et des honoraires.
Un site internet avocat remplit donc plusieurs missions essentielles :
Visibilité en ligne : être présent sur Google (et IA conversationnelle tel ChatGPT) quand un prospect tape « avocat divorce Paris » ou « cabinet droit pénal Lyon ».
Différenciation concurrentielle : se démarquer des confrères avec un design sobre, une navigation intuitive et des contenus authentiques.
Acquisition de clients – transformer les visiteurs en contacts via des call-to-action clairs (prise de rendez-vous, formulaire de contact, consultation en ligne).
Conformité – rassurer en affichant des mentions légales complètes et une politique de confidentialité RGPD.
À noter : des avocats très médiatisés comme Sarah Saldmann illustrent l’impact d’une présence digitale soignée pour toucher un public plus large.
Définir la stratégie avant de créer son site
Avant même de penser au design ou aux fonctionnalités, la réussite d’un site internet d’avocat dépend d’une stratégie claire. Beaucoup de cabinets se lancent sans véritable plan, ce qui conduit à des sites esthétiques mais inefficaces. Définir ses objectifs, son public cible et son identité visuelle permet d’éviter cet écueil et de construire un site cohérent, performant et différenciant.
Définir ses objectifs
Un site internet doit toujours servir une finalité précise. Pour un avocat, trois grands objectifs reviennent le plus souvent :
📈 Accroître la notoriété : apparaître en première page de Google grâce à un bon référencement naturel (SEO).
🎯 Acquérir de nouveaux clients : transformer un simple visiteur en prospect grâce à des call-to-action efficaces et une structure claire.
🤝 Fidéliser : fournir des contenus utiles (articles, FAQ, newsletters) qui renforcent la confiance et incitent les clients à revenir.
Un site ne peut pas tout faire en même temps avec la même intensité. Il est donc crucial de prioriser. Par exemple, un cabinet de niche peut mettre en avant son expertise technique, tandis qu’un cabinet généraliste visera la visibilité locale et l’accessibilité.
Identifier son public cible
Un site efficace est un site qui parle directement à son audience. Pour un avocat, le public cible peut varier :
- Particuliers (droit de la famille, droit pénal, immobilier) : ils attendent des explications simples, accessibles et une navigation intuitive.
- Entreprises (droit des affaires, fiscal, social) : elles recherchent davantage la crédibilité et la capacité du cabinet à gérer des dossiers complexes.
La manière de rédiger le contenu, de choisir les visuels ou encore de structurer les pages dépend directement de ce public. Un site orienté B2B misera sur la sobriété et des études de cas, tandis qu’un site destiné aux particuliers pourra adopter un ton plus pédagogique avec une FAQ détaillée. Bien identifier son audience, c’est déjà optimiser son taux de conversion.
Construire son identité visuelle
L’identité visuelle est la première impression que le justiciable retiendra. Elle doit traduire à la fois le sérieux de la profession et la singularité du cabinet.
Trois éléments sont incontournables :
Logo : simple, mémorable, adapté aux supports numériques.
Typographie : police claire, lisible et cohérente (sans-serif pour un style moderne, serif pour un rendu plus traditionnel).
Code couleur : privilégier des tons sobres (bleu marine, anthracite, noir) et utiliser une couleur vive pour mettre en avant les boutons d’action (CTA).
Mais l’identité visuelle ne s’arrête pas à l’esthétique : elle influence directement l’expérience utilisateur (UX). Une mise en page aérée, une hiérarchie claire des titres (balisage Hn), et des photos professionnelles renforcent la crédibilité.
Les éléments indispensables d’un site d’avocat
Un site internet d’avocat doit répondre à un double enjeu : donner confiance aux visiteurs et convertir ces visiteurs en clients potentiels. Pour cela, certains éléments sont incontournables : des pages bien choisies, un contenu différenciant et des visuels professionnels.
Les pages clés
Un site efficace repose sur une arborescence claire et intuitive. Chaque page doit avoir un rôle précis et permettre à l’utilisateur de trouver l’information qu’il cherche en deux ou trois clics maximum.
Les pages essentielles sont :
- Accueil : présentation synthétique de l’activité et call-to-action immédiat.
- À propos / présentation du cabinet : histoire, valeurs et approche de l’avocat ou de l’équipe.
- Compétences : idéalement, une page par domaine de droit ciblé (ex. droit pénal, droit de la famille).
- Blog / actualités : contenu régulier pour prouver son expertise et améliorer son SEO.
- Contact : coordonnées, formulaire simple, carte Google Maps intégrée.
Des pages complémentaires comme les honoraires, les mentions légales ou une FAQ juridique renforcent encore la crédibilité. Une telle structure améliore à la fois l’expérience utilisateur et le référencement naturel (SEO).
À retenir : en France, seulement 35 % des cabinets d’avocats disposeraient d’un site internet (Boyer Gorrias — https://www.boyergorrias.com/actualites_visu.php?actualites_id=2).
Un contenu différenciant
Le contenu est souvent le point faible des sites d’avocats, car beaucoup se limitent à des phrases génériques. Pourtant, un texte bien rédigé est ce qui fait la différence entre un site oublié et un site qui convertit.
Un bon contenu doit :
• Mettre en avant les spécificités du cabinet (réactivité, expertise particulière, accompagnement humain).
• Utiliser un vocabulaire juridique accessible aux non-initiés.
• Intégrer naturellement des mots-clés stratégiques (droit pénal Paris, avocat divorce Lyon).
• Être structuré avec un balisage Hn optimisé pour plaire à Google et au lecteur.
Le contenu doit être authentique, précis et orienté vers les besoins du client.
Conseil d’experte : Céline Herment recommande un ton pédagogique, des explications claires et une structuration logique pour répondre aux attentes des justiciables (réf. : https://sos-redaction-juridique.fr/).
Des visuels professionnels
Un site internet d’avocat sans photos donne une impression impersonnelle. Or, le métier repose sur la confiance et la relation humaine. C’est pourquoi les visuels occupent une place centrale.
Quelques recommandations pratiques :
📸 Portraits individuels de qualité, avec un cadrage homogène pour toute l’équipe.
🏢 Photos authentiques des locaux pour donner un aperçu du cadre professionnel.
🎥 Vidéo de présentation courte (1 à 2 minutes) pour renforcer la proximité.
Les images doivent être compressées pour ne pas ralentir la vitesse de chargement et contenir des attributs alt optimisés pour le SEO et l’accessibilité.
Référencement naturel (SEO) pour avocats
Un site d’avocat, même bien conçu, ne sert à rien s’il reste invisible. C’est là que le référencement naturel (SEO) entre en jeu. Le SEO n’est pas une option : c’est ce qui permet d’apparaître en première page de Google lorsque vos futurs clients recherchent “avocat divorce Bruxelles” ou “cabinet droit pénal Paris”. Pour un cabinet, le SEO combine des optimisations techniques, une stratégie éditoriale et une présence locale forte.
Choisir les bons mots-clés
Le choix des mots-clés est la première pierre du référencement. Un avocat doit cibler des expressions qui correspondent à son activité et à son secteur géographique.
Exemples :
« Avocat droit de la famille Paris »
« Cabinet divorce Lyon »
« Avocat droit pénal Bruxelles »
👉 Ces requêtes locales sont stratégiques car la majorité des clients recherchent un avocat près de chez eux. L’erreur classique est de viser des mots-clés trop génériques (“avocat”) qui génèrent du trafic mais peu de prospects qualifiés. En travaillant le SEO local, avec des pages dédiées à chaque compétence et à chaque ville, un cabinet peut multiplier sa visibilité.
Référence : Olivier Andrieu rappelle l’importance de coupler “métier + ville” pour des positions locales solides (bio : Wikipédia — https://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Andrieu).
Optimisations essentielles on-page
Le SEO on-page regroupe toutes les actions à réaliser directement sur le site. Un site d’avocat doit être structuré, rapide et lisible.
Les points clés sont :
- Balisage Hn : structurer les titres et sous-titres pour guider le lecteur et Google.
- Meta titres et descriptions : attirer le clic dans les résultats de recherche.
- Responsive design : indispensable puisque plus de 60 % des recherches sont faites sur mobile.
- Vitesse de chargement : optimiser les images (WebP ou AVIF), compresser le code, utiliser un hébergement performant.
Chiffre clé : plus de 60 % des recherches proviendraient d’appareils mobiles (source : Lexweb Solutions — https://www.lexweb-solutions.com/site-avocat-mobile-friendly/).
Suivre ses performances
Mettre en place une stratégie SEO sans la mesurer revient à naviguer sans boussole. Deux outils gratuits sont incontournables :
📊 Google Analytics : pour suivre le trafic, l’origine des visiteurs et leur comportement (taux de rebond, pages consultées, conversions).
🔎 Google Search Console : pour analyser le positionnement des mots-clés, détecter les erreurs d’indexation et améliorer le référencement.
En combinant ces données, un cabinet peut ajuster son contenu, renforcer certaines pages stratégiques et améliorer son taux de conversion. Le suivi est une étape continue : le SEO n’est pas une action ponctuelle mais une démarche sur le long terme.
Bonnes pratiques : Lucie Rondelet insiste sur l’usage conjoint d’Analytics et Search Console pour piloter la performance. Par ailleurs, près de 67 % des clients d’avocat utiliseraient l’IA au quotidien — un contexte qui impose des contenus clairs et à jour (source : CNB — https://www.cnb.avocat.fr/sites/default/files/documents/Enqu%C3%AAte%20IAG%20-%20Pr%C3%A9sentation%20de%20l%27enqu%C3%AAte%20aupr%C3%A8s%20des%20clients%20particuliers.pdf).
Optimiser pour l’IA conversationnelle (ChatGPT, Gemini, Perplexity…)
Les moteurs affichent de plus en plus des réponses générées par IA. Pour y apparaître sans entrer dans la technique, visez des contenus clairs, utiles et faciles à citer. Commencez chaque page par un résumé en 2–3 phrases qui répond directement à la question principale, puis développez. Créez une FAQ reprenant les vraies questions clients, indiquez la date de mise à jour et citez des sources fiables.
Mentionnez naturellement votre ville et vos domaines de droit (ex. « avocat droit de la famille à Lille ») pour renforcer le contexte local et la pertinence.
Les aspects techniques et réglementaires
Un site internet d’avocat ne peut pas se contenter d’être esthétique et bien référencé. Il doit aussi être fiable sur le plan technique et conforme aux obligations légales et déontologiques. Ces deux dimensions sont indissociables : un site lent, instable ou non conforme risque de nuire à la réputation du cabinet et d’entraîner des sanctions.
Choisir son CMS
Le choix du CMS (Content Management System) est crucial car il détermine la flexibilité, la simplicité de gestion et l’évolutivité du site.
🟦 WordPress : la solution la plus complète et personnalisable grâce à ses milliers de plugins (SEO, sécurité, formulaires). Recommandée pour les cabinets qui veulent un site professionnel et modulable.
🟨 Wix : solution simple, idéale pour les avocats qui veulent créer leur site sans connaissance technique, mais limitée en personnalisation avancée.
🟥 Squarespace : mise en avant du design premium, pratique pour un cabinet qui veut un rendu élégant sans passer par un développeur.
Pour aller plus loin : Webflow University propose des ressources avancées pour concevoir des sites esthétiques et performants, utiles aux équipes exigeantes (https://university.webflow.com/).
Fonctionnalités utiles aux avocats
Un site performant ne se limite pas à afficher des textes et des photos. Il doit intégrer des fonctionnalités adaptées à la profession juridique, qui simplifient la relation client et augmentent la valeur perçue.
- Paiement en ligne sécurisé : terminal CB ou module Stripe/PayPal pour simplifier le règlement des honoraires.
- Prise de rendez-vous en ligne : agenda connecté qui réduit les appels téléphoniques et améliore la disponibilité.
- Version multilingue : indispensable pour les cabinets internationaux ou ceux accueillant une clientèle étrangère.
- Cloud sécurisé / extranet client : espace privé pour échanger des documents en toute confidentialité.
Outil connexe : des suites comme Bitrix24 aident à centraliser CRM, documents et échanges internes — un bon complément au site (https://www.bitrix24.fr/articles/meilleurs-logiciels-pour-les-cabinets-davocats.php).
Déontologie & RGPD
Un site internet d’avocat est soumis à des règles strictes. La déontologie et la protection des données personnelles (RGPD) ne sont pas optionnelles : elles encadrent la communication et garantissent la confiance.
🚫 Communication encadrée : interdiction d’utiliser le terme « spécialisé » sans certification, pas de publicité comparative …
🔒 RGPD : mentions légales obligatoires, bannière de consentement cookies, formulaire de contact conforme (mentions CNIL, droit de rectification/suppression).
Combien coûte un site internet d’avocat ?
Le budget nécessaire pour créer un site internet d’avocat varie considérablement selon la solution choisie. Entre les plateformes clé en main et les agences spécialisées, la différence de prix s’explique par le niveau de personnalisation, les fonctionnalités incluses et l’accompagnement proposé. Comprendre ces écarts permet de choisir une solution adaptée à la taille du cabinet, à ses objectifs et à ses ressources.
Créer son site soi-même via un CMS
Utiliser un CMS comme WordPress, Wix ou Squarespace permet de créer un site à moindre coût. Les tarifs se situent généralement entre 10 € et 50 € par mois, auxquels s’ajoutent :
📌 L’achat du nom de domaine (environ 10 à 20 €/an).
📌 L’hébergement sécurisé (5 à 15 €/mois).
📌 Les éventuelles extensions (SEO, sécurité, réservation en ligne).
👉 Cette solution est intéressante pour un avocat indépendant ou un petit cabinet, mais elle demande du temps et une certaine courbe d’apprentissage. L’avantage : un contrôle total sur le contenu et une souplesse d’évolution.
Passer par une agence spécialisée
Faire appel à une agence web spécialisée pour avocats offre un service complet : design sur mesure, stratégie SEO, rédaction optimisée, conformité déontologique et RGPD. Les tarifs varient de 2 000 € à plus de 10 000 € selon :
- Le niveau de personnalisation du design.
- Les fonctionnalités intégrées (paiement en ligne, extranet client, site multilingue).
- L’accompagnement en référencement naturel (SEO) et stratégie de contenu.
Cette option est idéale pour les cabinets qui souhaitent un site haut de gamme, sans avoir à gérer la partie technique. C’est un investissement qui améliore la visibilité et crédibilise fortement l’image du cabinet.
Coûts d’entretien et de maintenance
Un site internet n’est jamais terminé : il doit être mis à jour, sécurisé et optimisé régulièrement. Les frais d’entretien représentent en moyenne 200 à 600 € par an pour couvrir notamment la maintenant technique (mises à jour CMS, plugins, correctifs de sécurité …).
Étapes pratiques pour créer son site d’avocat
Créer un site internet peut sembler complexe, mais en suivant une méthode claire, chaque étape devient accessible. Ces 7 phases couvrent aussi bien la stratégie, la technique, que l’optimisation SEO et réglementaire. Pour un avocat, il est essentiel de respecter cet ordre logique afin d’obtenir un site à la fois performant, conforme et orienté conversion.
1. Définir ses objectifs
Avant de se lancer dans le design ou le contenu, il faut déterminer ce que l’on attend du site. Veut-on surtout gagner en visibilité locale, mettre en avant une expertise spécifique, ou générer plus de prises de rendez-vous ? Ces choix conditionnent tout le reste.
Exemple :
• Un avocat en droit de la famille privilégiera une FAQ claire et un formulaire de contact accessible.
• Un cabinet d’affaires misera sur un blog juridique vivant et des études de cas.
2. Choisir un nom de domaine
Le nom de domaine est l’adresse numérique du cabinet. Il doit être simple, professionnel et respecter les règles déontologiques.
✅ Exemple pertinent : dupont-avocat-paris.fr
❌ Exemple à éviter : meilleur-avocat-divorce.fr (trop générique et non conforme).
Astuce : privilégier une extension locale (.fr, .be) plutôt qu’un .com si l’activité est ciblée sur un pays en particulier.
3. Choisir son CMS et son hébergeur
Le CMS (WordPress, Wix, Squarespace…) est l’outil qui permet de créer et gérer le site. Chaque solution a ses avantages : WordPress pour sa flexibilité SEO, Wix pour sa simplicité, Squarespace pour son design premium.
Côté hébergement, il est essentiel de choisir une solution sécurisée, rapide et fiable : OVH, PlanetHoster, Ionos. L’hébergement inclut souvent le certificat SSL, garant de la sécurité des échanges (HTTPS).
4. Structurer l’arborescence
L’arborescence est le plan de navigation du site. Elle doit être pensée pour être simple, claire et intuitive.
Pages incontournables :
• Accueil
• À propos / présentation
• Compétences (1 page par spécialité)
• Blog / actualités
• Contact (formulaire + Google Maps)
Une arborescence optimisée aide le visiteur à trouver l’information en 2 ou 3 clics maximum et facilite l’indexation par Google.
5. Rédiger le contenu
Un contenu pertinent et différenciant est la clé pour convaincre. Chaque page doit être rédigée avec un ton clair, accessible et professionnel.
⚖️ Page compétences : détailler les domaines d’expertise avec des mots-clés précis.
👩⚖️ Page À propos : présenter le parcours, les valeurs et la mission.
📚 Blog : publier des articles ou actualités juridiques pour renforcer le SEO.
Le contenu doit toujours répondre à la question : “Qu’est-ce qui me distingue de mes confrères ?”
6. Travailler le design et l’expérience utilisateur
Le design n’est pas une question de style mais de crédibilité. Couleurs sobres, typographies lisibles, photos professionnelles : tout doit refléter la rigueur du métier.
Points clés de l’UX (expérience utilisateur) :
• Navigation intuitive
• Mise en page aérée
• Responsive design (adapté aux mobiles et tablettes)
• Call-to-action clairs (“Prendre rendez-vous”, “Contacter le cabinet”)
7. Mettre en ligne et suivre les résultats
Une fois le site finalisé, publiez-le puis mettez en place un suivi rigoureux.
Installez Google Analytics et Google Search Console afin de mesurer le trafic, les mots-clés et les conversions. Analysez les résultats SEO et ajustez le contenu en conséquence. Assurez une maintenance régulière (mises à jour du CMS, sécurité) et travaillez en continu la vitesse de chargement ainsi que l’expérience utilisateur.
La mise en ligne n’est pas la fin du projet, mais le début d’un travail d’amélioration continue.
FAQ concernant la création d'un site internet pour avocats
Quels sont les éléments essentielles pour un site d’avocat ?
Mentions légales, politique de confidentialité, coordonnées complètes, présentation du cabinet et compétences, formulaire de contact sécurisé, et une structure validée par l’Ordre.
Comment choisir le meilleur CMS pour un cabinet d’avocat ?
WordPress pour la flexibilité et le SEO, Wix pour la simplicité (mais demande du temps pour apprendre à créer et gérer un site web). Le choix dépend du budget, du temps disponible et des besoins en fonctionnalités.
Quels contenus optimisent la visibilité d’un site d’avocat ?
Pages claires par compétence, blog juridique régulièrement mis à jour, FAQ ciblée, études de cas, et contenus accessibles expliquant les démarches juridiques aux clients.
Un avocat peut-il afficher ses honoraires sur son site ?
Oui. C’est recommandé pour la transparence et la confiance, mais la présentation doit rester sobre, sans comparaison directe ni promesse commerciale excessive.
Pourquoi un blog juridique est-il utile à un cabinet d’avocat ?
Il renforce la crédibilité, améliore le référencement naturel (SEO) et permet de démontrer expertise et actualité dans les domaines de droit du cabinet.
Quels sont les coûts cachés d’un site internet d’avocat ?
Maintenance technique, hébergement sécurisé, mises à jour CMS, extensions payantes (SEO, sécurité), et suivi régulier du référencement.
Comment sécuriser les données sur un site d’avocat ?
Installer un certificat SSL, utiliser un hébergeur sécurisé, mettre à jour le CMS, et intégrer un formulaire conforme au RGPD.
Peut-on intégrer un système de paiement en ligne pour les honoraires ?
Oui. C’est autorisé si la solution est sécurisée (SSL, protocole bancaire). Cela facilite le règlement et améliore l’expérience client.
Quels sont les risques d’un site mal référencé ?
Moins de visibilité sur Google, perte de prospects potentiels, concurrence plus visible, et difficulté à rentabiliser l’investissement du site internet.
Peut-on afficher des avis clients sur le site d’un cabinet d’avocats
France : la déontologie interdit les mentions laudatives et toute identification de clients ou de résultats. Afficher des témoignages sur votre propre site est donc fortement déconseillé (risque secret pro). À minima, ne pas republier d’avis externes.
Belgique : mêmes principes (loyauté, dignité, discrétion) et interdiction d’identifier la clientèle ou de mettre en avant des résultats. Les témoignages sur le site du cabinet sont à proscrire.
Alternative sûre : préférez des preuves d’expertise non personnelles (pages compétences détaillées, publications, interventions) et, en cas de doute, sollicitez l’avis de votre Ordre/Barreau.
Quels sont les avantages d’un site multilingue pour un cabinet ?
Attirer une clientèle internationale, faciliter la communication avec des clients étrangers, et améliorer le positionnement SEO dans plusieurs langues.
Combien de temps faut-il pour créer un site d’avocat ?
Entre quelques jours avec un CMS simple et plusieurs semaines pour un site sur mesure réalisé par une agence spécialisée.
Quels KPI suivre pour mesurer l’efficacité d’un site d’avocat ?
Trafic organique, positionnement des mots-clés, taux de rebond, durée moyenne de session, et conversions (prises de rendez-vous, formulaires remplis).
Un avocat peut-il utiliser la publicité Google Ads ?
Oui, mais avec prudence. Les annonces doivent rester conformes aux règles déontologiques : pas de promesses commerciales abusives ni de comparaisons directes avec d’autres avocats.
Webographie
Village de la Justice — https://www.village-justice.com/articles/tendances-numeriques-essentielles-pour-les-avocats%2C51700.html
Analyse des tendances numériques pour les professions juridiques, dont des chiffres d’usage d’Internet.
Boyer Gorrias — https://www.boyergorrias.com/actualites_visu.php?actualites_id=2
Étude sur la digitalisation des cabinets d’avocats, incluant le taux d’équipement en sites web.
CNB – Conseil National des Barreaux — https://www.cnb.avocat.fr/sites/default/files/documents/Enqu%C3%AAte%20IAG%20-%20Pr%C3%A9sentation%20de%20l%27enqu%C3%AAte%20aupr%C3%A8s%20des%20clients%20particuliers.pdf
Rapport sur l’usage de l’IA par les clients d’avocats.
Lexweb Solutions — https://www.lexweb-solutions.com/site-avocat-mobile-friendly/
Importance du mobile pour les sites d’avocats et données sur les recherches depuis smartphone.
Webflow University — https://university.webflow.com/
Ressources d’apprentissage officielles pour concevoir des sites hautement personnalisés.
Google Analytics Help — https://support.google.com/analytics/answer/1008015
Documentation officielle pour suivre et analyser les performances d’un site.
Yoast SEO – SEO Basics — https://yoast.com/seo-basics/
Fondamentaux du SEO, pédagogiques et actionnables, pour WordPress et au-delà.
HubSpot – Law Firm Marketing — https://blog.hubspot.com/marketing/law-firm-marketing
Stratégies de marketing digital pour cabinets d’avocats : SEO, contenu, visibilité.
Clio – Legal Trends Report — https://www.clio.com/resources/legal-trends/
Rapports annuels sur les usages numériques et les tendances du secteur juridique.
Bitrix24 (FR) — https://www.bitrix24.fr/articles/meilleurs-logiciels-pour-les-cabinets-davocats.php
Panorama de logiciels utiles aux cabinets (CRM, gestion documentaire, collaboration).
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